Deux semaines que la volonté de traiter ce sujet m'habite (de cheval) : je passe dont à l'acte !
Quelques années de VTT m'ont appris que bien que le matériel ne fasse pas tout, il peut s'avérer fort judicieux de choisir ce qu'il y a de mieux pour se prémunir contre le maximum de désagréments.
Quelques années de VTT m'ont appris que bien que le matériel ne fasse pas tout, il peut s'avérer fort judicieux de choisir ce qu'il y a de mieux pour se prémunir contre le maximum de désagréments.
Cela fait maintenant quelques années que les VTT tout-suspendus ont commencé à débarquer dans les shops. Considérés au départ, comme une hérésie, les tout'sus se sont peu à peu fait une place dans les gammes des constructeurs, pour arriver, aujourd'hui à dépasser, voire quasiment à évincer les semi-rigides. Visiblement, le concept a acquis une maturité suffisante pour lui permettre de se faire une place sur le marché du VTT et dans l'esprit de ses pratiquants.
S’il y a une catégorie de VTT sur laquelle tous les grands constructeurs ont jeté leur dévolu pour 2002, il s’agit bien de celle des VTT tout-suspendus, polyvalents, à mi-chemin entre le Free Ride et le Cross Country. Il n’existe pas de dénomination propre pour cette catégorie hybride. Certaines firmes la nomme « Enduro » , d’autres ont choisi les terme « Back Country » ou « Epic », ou encore le très explicite « All Mountain ». La mise au point de ce type de VTT peut se faire à partir d’une base XC, par une adaptation des freins et des suspensions. C’est le cas des Scott Strike CFX ou des Specialized Enduro FSR. La seconde possibilité consiste à faire évoluer une base FR en l’allégeant et en la rendant plus polyvalente. C’est l’option choisi par Kona pour ses Bears, par Giant pour ses AC ou encore par Rocky Mountain pour ses Slayer ou Edge. Le modèle que j’ai eu la chance de tester est le Specialized Enduro FSR.
A l’heure où les résolutions de 4, 5, voire 7 méga-pixels deviennent courantes dans les numériques compacts de n’importe quel supermarché. A l’heure où les boitiers-réflex grand public de 10 méga-pixels pointent le bout de leur nez, permettant aux amateurs éclairés de sauter le pas du numérique en préservant leur investissement en matière d’objectifs. A l’heure où le tout nouveau capteur Foveon X3 est sur le point de renvoyer dans la préhistoire tous les numériques actuellement disponibles et d’égaler la qualité argentique, mon bon vieux Digital Ixus, première génération, pourrait facilement apparaître comme un instrument dépassé ou anachronique. Et c’est probablement le cas. Pourtant c’est avec grand plaisir que je le glisse régulièrement dans ma poche et qu’il m’accompagne quasiment partout.
"Oubliez tout ce que le mot chaussure à coque évoquait pour vous". La pub de Scarpa est très alléchante. Mais force est de reconnaître qu'elle n'est pas très loin de la vérité. Au premier abord cette Scarpa Alpha ne paie pas de mine : brune et beige, laçage orange fluo et dimensions réduites, on peut même dire qu'elle ne ressemble à rien. Pourtant dès qu'on enfonce son pied à l'intérieur, la sensation de confort est immédiate. Le chausson spécial en Cordura est à la fois ferme, moelleux et chaud. Au premier laçage, les habitués de chaussures à coque traditionnelle, genre Koflach comme moi, serreront inévitablement beaucoup trop. Le laçage asymétrique de l'Alpha allié à la fine épaisseur de la coque plastique est d'une redoutable efficacité. Chaque tension sur les lacets est immédiatement répercutée sur le maintien du pied. Vraiment très étonnant.