Il en va de la peau des oignons, ou en tout cas de l’épaisseur de leur peau, comme de la chute tardive des feuilles, de la facilité ou non à peler l’ail, ou encore de l’abondance des noix ou noisettes, la croyance populaire les considère comme des indices naturels précieux pour établir un pronostic météo saisonnier, et en particulier, pour prédire quel genre d’hiver va nous accompagner entre décembre et avril.
Ainsi, selon que les oignons ont la peau fine et unique ou épaisse et multiple, l’hiver qui suit leur récolte sera doux et bref ou, au contraire, long et rigoureux.
Il fut un temps que même les moins de vingt ans devraient avoir connu, celui des hautes-pressions hivernales stables et...
Cinquième mois hivernal et 17ème épisode neigeux d’envergure.(SLF) Ce n’est plus un hiver, c’est une légende. Après la crise du...
Ponctuel, généreux en neige, froid et malgré tout ensoleillé, que demander de plus à une saison qui avait pris la mauvaise habitude de se faire de plus en plus capricieuse sous nos latitudes. Finalement, c’est beau un hiver… en hiver.
Celui qui est sur le point de s’achever va brillamment se réconcilier avec ses adeptes les plus exigeants et peut-être également, qui sait, avec ses détracteurs les plus inflexibles.
Celui qui est sur le point de s’achever va brillamment se réconcilier avec ses adeptes les plus exigeants et peut-être également, qui sait, avec ses détracteurs les plus inflexibles.
Le craquement sec de la terre gelée sous nos crampons emplissait l'air glacé de ce dimanche d'hiver. Autour, le silence. Telle une horde au coeur des steppes de Sibérie, nous suivions notre guide à travers les pistes et chemins qui zèbrent ces landes. Je m'imaginais dans les récits de mon enfance, tel Tarass Boulba ou Michel Strogoff, pêchant le saumon, chassant le grand Orignal, fuyant un ennemi lancé à nos trousses. Depuis des jours il nous poursuivait, nos seuls espoirs résidant dans la fuite. Une côte. Garder le rythme, relancer pour rester accroché, ne pas devenir une cible isolée. Mes poumons brûlent. Un bruit derrière moi, une branche en travers. Hop ! Sauter par dessus, se féliciter du comportement de sa monture. Merci Merlin, mon fier destrier. Descente raide et sablonneuse : cul en arrière, regard sur la trace. Freiner, relâcher, freiner, relâcher.
"Oubliez tout ce que le mot chaussure à coque évoquait pour vous". La pub de Scarpa est très alléchante. Mais force est de reconnaître qu'elle n'est pas très loin de la vérité. Au premier abord cette Scarpa Alpha ne paie pas de mine : brune et beige, laçage orange fluo et dimensions réduites, on peut même dire qu'elle ne ressemble à rien. Pourtant dès qu'on enfonce son pied à l'intérieur, la sensation de confort est immédiate. Le chausson spécial en Cordura est à la fois ferme, moelleux et chaud. Au premier laçage, les habitués de chaussures à coque traditionnelle, genre Koflach comme moi, serreront inévitablement beaucoup trop. Le laçage asymétrique de l'Alpha allié à la fine épaisseur de la coque plastique est d'une redoutable efficacité. Chaque tension sur les lacets est immédiatement répercutée sur le maintien du pied. Vraiment très étonnant.