Une petite partie de question pour un crampon, ça vous dit ?
– Top chrono !
– Je démarre directement de la plaine du Rhône grâce à un vieux téléphérique.
– Mon ascension se termine par un col reliant deux vallées latérales valaisannes.
– Mon point culminant flirte avec les 2’500 mètres.
– Ma descente est mythique grâce à ses 2’000 mètres de D- intégralement single-trackeux.
– Je suis?
– …
– Ma réputation a depuis longtemps dépassé les frontières de la petite Helvétie.
– Mon appellation est d’origine anglo-saxonne.
– Mon nom fait référence à l’hygiène intime de certaines habitantes d’Amérique du Sud.
– Je suis, je suis ?
– The Brazilian ?
– C’est non !
– Remontez vers le nord, changez de chaîne de montagnes et poussez un peu vers l’ouest.
– Rajoutez un vrai D+, disons 1’400 mètres, histoire de décourager les gros vélos et les petits mollets.
– Je suis, je suis…
– …
– Remplacez le Noble par le Diable(y) et le Cou par le Dem’
– Je suis, je suis, je suis …
– …
– Vous séchez ? C’est assez fort avec un mois de juillet aussi arrosé !
– …
Bon, tant pis, persévérez dans votre culte du poil bien rasé et du chemin défoncé. Vous ne méritez vraiment pas de découvrir cette petite perle d’itinéraire VTT. The Bolivian n’est définitivement pas fait pour vous.
Trop secret, trop authentique, trop velu.