Avant le Covid, l’automne venu, nous avions l’habitude de migrer vers le sud, pour rajouter un peu de VTT à une saison qui touche inexorablement à son terme sous nos latitudes. Après le Covid, pas vraiment de vie version 2.0. Nos habitudes, comme les vôtres probablement, n’ont pas changé. Direction le sud, toujours, et plus précisément la Toscane, pour aller voir à quoi les chemins de la patrie du Chianti ressemblent.
Eh bien, sans surprises, ils ressemblent à des chemins du sud. Poussiéreux, souvent rocailleux et pas forcément très pentus, territoire aux mille collines oblige. Mais, qui dit mille collines, dit aussi, grosse partie de montagnes russes pour accumuler du dénivelé. En l’occurrence, il nous aura fallu plus de 60 km de « strade bianche » et de « sentieris » pour acquérir 1’500 « pauvres » mètres de D- à se mettre sous le crampon.
Ceci dit, ce que la Toscane n’offre pas en dénivelé, elle le compense en sérénité. Et quand on est fatigué par une longue année de labeur, c’est aussi appréciable.
Nos premiers tours de roues toscans à travers les belles collines de Corsignano.
A chaque « poggio » son « agritursimo ». Pour se loger, le visiteur n'a, ici, que l'embarras du choix.
La première véritable montée de notre séjour se passe sur la Via Francigena.
J'espère qu'elle ne durera pas jusqu'à Canterbury, parce qu'elle est plutôt du genre exigeante, même en « E ».
Contrairement à ce figuier de barbarie, la Toscane, ça ne pique pas, mais c'est collant.
Y rouler dans sa sérénité donne envie de s'y incruster.
Le superbe point de vue sur le village de Vagliagli ...
... nous incite à aller voir de plus près s'il y a moyen de s'y jeter un petit ristretto, vite fait.
Après pas mal de recherches à travers ses ruelles, nous finissons par atterrir dans son « unico negozio » pour avaler notre dose de caféine du matin.
13H00 sur les collines de Valimaggio, nous piqueniquons en compagnie d'une mante plus fashionista que religieuse.
Colline d'où nous redescendons via un sympathique single ...
... manquant juste de pente et de lacets.
Une journée avec beaucoup de « strade bianche », comme celle plongeant sur Poggiarso.
L'ascension pavée pour remonter du Torrente del Mulinaccio vers Lecchi.
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