.... ou comment mettre à profit la mondialisation du commerce pour faire de bonnes affaires en matière de matériel VTT....
Deux semaines que la volonté de traiter ce sujet m'habite (de cheval) : je passe dont à l'acte !
Quelques années de VTT m'ont appris que bien que le matériel ne fasse pas tout, il peut s'avérer fort judicieux de choisir ce qu'il y a de mieux pour se prémunir contre le maximum de désagréments.
Quelques années de VTT m'ont appris que bien que le matériel ne fasse pas tout, il peut s'avérer fort judicieux de choisir ce qu'il y a de mieux pour se prémunir contre le maximum de désagréments.
Les sommets alpins qui me narguent de toute leur blanche hauteur ont invité le ciel à enduire de bleu cette journée glacée.
Dans la chaleur de mon entrée, les skis sont prêts, fardés et fartés pour un prochain WE de glisse.
Complices de mes dernières parties de plaisir, ils se dressent dans le plastique de leur housse...
Seulement, piètre amant, je n'ai pas envie d'eux : on se connaît par coeur, et nos ébats sont tranquilles, désormais ...
Dans la chaleur de mon entrée, les skis sont prêts, fardés et fartés pour un prochain WE de glisse.
Complices de mes dernières parties de plaisir, ils se dressent dans le plastique de leur housse...
Seulement, piètre amant, je n'ai pas envie d'eux : on se connaît par coeur, et nos ébats sont tranquilles, désormais ...
Après ce spendide weekend que la plupart d'entre-vous ont mis à profit pour rouler, peaufiner les réglages de leur nouvelle monture ou dépenser un max de calories avant l'hiver j'ai le moral bien bas et sents le besoin de faire partager ma tristesse.
Cela fait maintenant quelques années que les VTT tout-suspendus ont commencé à débarquer dans les shops. Considérés au départ, comme une hérésie, les tout'sus se sont peu à peu fait une place dans les gammes des constructeurs, pour arriver, aujourd'hui à dépasser, voire quasiment à évincer les semi-rigides. Visiblement, le concept a acquis une maturité suffisante pour lui permettre de se faire une place sur le marché du VTT et dans l'esprit de ses pratiquants.
En matière de prise de vues, il existe deux manières singulières de s'exprimer : faire DES photos ou faire de LA photo.
Vous et moi, nous régatons avec plus ou moins de bonheur dans la première catégorie. Nous clic-claquons à tout-va pour tenter d'immortaliser et retranscrire les instants d'émotion qui jalonnent notre existence au gré de nos rencontres et de nos passions. Le résultat est quelquefois heureux, souvent coloré mais rarement inspiré. Nos clichés sont généralement spontanés mais habituellement sans âme, voire plutôt quelconques.
Vous et moi, nous régatons avec plus ou moins de bonheur dans la première catégorie. Nous clic-claquons à tout-va pour tenter d'immortaliser et retranscrire les instants d'émotion qui jalonnent notre existence au gré de nos rencontres et de nos passions. Le résultat est quelquefois heureux, souvent coloré mais rarement inspiré. Nos clichés sont généralement spontanés mais habituellement sans âme, voire plutôt quelconques.
Dimanche 16 mars, vient au monde une superbe journée ensoleillée, qui va faire de l'ombre aux plus beaux jours d'octobre. Et pour fuir ce bébé qui promet d'être très chaud, j'me lance dans un chemin s'insinuant, tel un cordon ombilical, dans le ventre frais de la forêt guyanaise. Christian, mon plus fidèle compagnon, se joint à moi. Nous partons, sur nos vtts, à la recherche d'une mine de tantalite abandonnée.
Cette année, la saison des pluies est plutôt discrète. Les alizés dominants de nord-est maintiennent la ZIC sur les côtes du Brésil. Aussi en l'absence des fortes pluies, responsables des chutes d'arbres et des mares à boue gigantesques, le chemin forestier se trouve être en assez bon état. Toutefois les bas-fonds sécrètent toujours une boue épaisse qui refuse ostensiblement de durcir. Lancé comme un locomotive, Christian franchit ces passages en tête. La boue s'ouvre, les lèvres s'écartent et avant qu'elles ne se referment, je le suis dans le rail tel un wagon aveugle. On appelle cette technique de franchissement " le passage de boue en train".
Cette année, la saison des pluies est plutôt discrète. Les alizés dominants de nord-est maintiennent la ZIC sur les côtes du Brésil. Aussi en l'absence des fortes pluies, responsables des chutes d'arbres et des mares à boue gigantesques, le chemin forestier se trouve être en assez bon état. Toutefois les bas-fonds sécrètent toujours une boue épaisse qui refuse ostensiblement de durcir. Lancé comme un locomotive, Christian franchit ces passages en tête. La boue s'ouvre, les lèvres s'écartent et avant qu'elles ne se referment, je le suis dans le rail tel un wagon aveugle. On appelle cette technique de franchissement " le passage de boue en train".
Ponctuel, généreux en neige, froid et malgré tout ensoleillé, que demander de plus à une saison qui avait pris la mauvaise habitude de se faire de plus en plus capricieuse sous nos latitudes. Finalement, c’est beau un hiver… en hiver.
Celui qui est sur le point de s’achever va brillamment se réconcilier avec ses adeptes les plus exigeants et peut-être également, qui sait, avec ses détracteurs les plus inflexibles.
Celui qui est sur le point de s’achever va brillamment se réconcilier avec ses adeptes les plus exigeants et peut-être également, qui sait, avec ses détracteurs les plus inflexibles.