Le Meidpass et la minéralité sont comme les deux faces d’une même pièce de monnaie. Indissociables ! L’un ne va pas sans l’autre. La partie sommitale de ce col « kleiniroestigrabener » est un véritable « rocky garden » comme le disent nos amis « brexiters ». Chaque versant rivalise avec son pendant linguistique pour éparpiller du mieux qu’il peut tout ce que la région compte de granit en morceaux plus ou moins gros. Aller y rouler, c’est choisir de passer une partie de sa journée à faire le prunier, variante trépidante de la posture de yoga (presque) éponyme.
Mais revoir le Turtmanntal en y accédant par l’un de ses cols les plus mythiques mérite largement quelques rugueux soubresauts pour tenter de rester alternativement sur le chemin, puis sur le « wanderweg ».
Tu es pierre et sur cette pierre je bâtirai un itinéraire !
Combavert, un démarrage prometteur directement dans le vif du sujet.
Malheureusement, quel que soit le mollet, Madame déclivité finit toujours par avoir le dernier mot.
Séance de jardinage matinal pour ceux qui préfèrent suivre les indications du citoyen de Martué aux panneaux du tourisme pédestre local.
Finalement après quelques gouttes de sueur et de pluie, tout le monde retrouve le droit chemin. Et c'est rien de le dire.
Chemin pas toujours divin mais (à peu près) entièrement escaladable "on the bike".
Avec l'altitude, le granit, leitmotiv de notre itinéraire, positionne ses premiers pions.
La partie s'annonce rude, même si, momentanément, elle est encore indécise.
Aidées par l'altitude, les pierres prennent peu à peu possession de notre jardin.
Pourtant, tant qu'il reste du chemin à rouler, certains sont décidés à ne rien lâcher.
Finalement, celui qui a la tête la plus dure, le granit, finit quand même par l'emporter. Et nous par porter.
Le challenge du premier lacet : attention le juge est attentif et le précipice, chaque année plus proche du chemin.
Vous connaissiez l'eau, voilà l'environnement minéral. Moins bon pour la santé, surtout si vous manquez d'aptitude à piloter.
S'il y en a un qui n'en manque pas (d'aptitude à tenir un guidon), c'est bien l'ami Jean-Alex.
Lacet N°3 : le noose-turn expliqué aux nuls.
On en ressort pas forcément grandi, mais bien en ligne pour l'un et admiratifs pour les autres.
Petit papotage mécanique en attendant le regroupement général.
Plus vraiment de pentu, alors on redémarre "drè" dans le vif du sujet.
Faut vraiment que le père Noël lui offre un 29", sinon l'ami Alex va vouloir essayer tous ceux qu'il croise.
Dire que le Meidsee nous avait manqué depuis 2016 serait faire injure à l'itinéraire qui frôle sa rive droite.
Willkoma im Turtmanntal !
Quand les lignes rivalisent de lacets et de caillasse, le mieux est encore de n'en choisir aucune.
Maître François, sur l'un de ses (nombreux) oiseaux sans ailes, perché...
... tentait de se frayer un chemin parmi des Hérens assoupies.
Quand Meide Mitterstafel est en vue, c'est que le granit a vécu.
Le sillon de terre meuble redonne des ailes à ceux qui n'en manquaient déjà pas.
La bière de l'hôtel Schwarzhorn à Gruben avait pour but de nous désaltérer, pas de les inciter à lâcher encore un peu plus les freins.
Résultat, jusqu'à la courte remontée vers Oberems, ce ne sera que poussière, rires et courses poursuites débridées.
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