Traversées mythiques pour été indien persistant, épisode 2 !
Après le « Loetsch » et son unique « presque » 4’000, voici le haut val d’Anniviers et sa couronne de géants éternellement blancs. Après l’austère et rugueux Bietschhorn, place aux imposants et majestueux Weisshorn, Zinalrothorn, Obergabelhorn, Dent Blanche, Dent d’Hérens et, last but not least, Mr Cervin « himself ». Une époustouflante brochette de « gratte-ciel » qui n’était pourtant que le décorum de notre escapade anniviarde. Notre motivation reste beaucoup plus terre à terre, limite ras les pâquerettes. Du ruban ocre ou gris, poussiéreux ou humide, meuble ou rocailleux, accroché aux flancs d’alpages désormais désertés, que certains appellent « wanderweg », d’autres, « singletrails », d’autres encore, « chemins pédestres » et que nous, préférons simplement rouler plutôt que nommer.
Et, en la matière, Zinal, c’est génial, mais Soussillon, c’est si bon !
C'est pourtant vrai qu'en Anniviers, le bike ne rapporte rien. Ils devraient lui en interdire encore plus de chemins, je trouve...
Changement de potence pour changement définitif de proprio. You were the best of friends, Little Stage.
L'ombre de Sieur Tounô, propice aux papotages matinaux.
Les silhouettes des Pointes de Nava, frontière effilées entre l'ombre et la lumière.
Les derniers hectomètres avant le changement de versant.
Le premier chemin du matin et autres plaisirs majuscules.
Erreur d'aiguillage pour un atterrissage une crête trop loin.
En plus de sa pente conséquente, il y a désormais une belle couche de revêtement mou pour corser l'habituelle première ascension.
Même Mr Levo manque de s'y laisser scotcher.
Ciel échevelé et étroit ruban de gravier. Le ton de la journée est donné.
Ocre, marron et doré, côté environnement, les couleurs chaudes sont définitivement de la partie.
Trop de lumière, tue la lumière. Ou les limites des APN bons à tout faire.
Mettre les chaînes ou simplement se contenter de les ignorer.
Miam, miam et re-miam !
Ciel, un biker !
Savoir s'arrêter et juste ... apprécier.
Une table, une digue et un étendard. C'est l'heure du brunch !
Table avec vue pour casse-croûte époustouflant.
Calés et repartis.
Quand la doudoune est de sortie c'est que les 20° sont (tout juste) oubliés.
A l'approche des pierriers de Berneuza, les 29" retrouvent leur éléments de prédilection.
Ca commence en douceur, histoire de prendre confiance, puis ça passe rapidement en mode beaucoup plus brimbalant.
A chaque jour, sa victoire.
Désormais, à chaque crête, Zinal se dévoile. Ca sent la descente finale.
Reste à gérer l'exigeant et joueur tronçon de Perrauja, tout en pièges et en relances cachées.
A défaut d'or en barres, on a déjà celui des aiguilles.
Qu'importe le lacet quand le Stage est bien mené.
Quand ça penche vraiment, deux doigts et deux leviers restent le meilleur remède contre le vertige.
Ah oui, j'allais oublier. Un peu de crampon à l'arrière. Ca peut aussi sauver.
Mutlipass pour une banlieue enflammée.
Changement de secteur, même menu.
Du chemin, encore du chemin, toujours du chemin.
Braver l'interdit pour ajouter du piment à la vie.
Soussillon, c'est si bon. Même si ça ne fait pas que semblant de descendre.
Rocher mal placé ou trajectoire mal calculée. Qu'importe, le Bepanthen est de sortie.
L'entrée "full gaz" dans la machine à coudre des Pontis.
D'abord ça secoue un peu ...
... avant de sinuer à tout va.
Le bisse de contournement de Niouc. Difficile à trouver, tellement délicieux pour transiter.
La plongée finale vers LA vallée.
Fumante mais néanmoins enivrante.
Back To Finges. Automne ou printemps, toujours un grand moment.
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