A défaut d’un créneau dispo le « sacro-saint » vendredi, on peut aussi profiter du jeudi pour envisager un « joli » enchainement de bisses accrochés au coteau « varenois & contrayotte ». A condition d’avoir un agenda « pro » quelque peu malléable, un sens de l’organisation un poil aiguisé et quelques heures (jours) sup en rab pour mettre de l’huile dans les rouages, y a parfois moyen de réécrire le scénario d’une semaine qu’on pensait gravée dans le béton et l’armature.
Après, pour vraiment profiter de ce gros « reste » de journée ainsi dégagée, il faut aussi prévoir un minimum d’attention matinale, histoire de ne pas avoir à enchainer les aller-retours sur le premier bisse du menu, celui dont on connait déjà quasiment chaque racine par son prénom, à la recherche de clés perdues qu’on avait tout simplement laissées sur le parking de départ…