A défaut d’un créneau dispo le « sacro-saint » vendredi, on peut aussi profiter du jeudi pour envisager un « joli » enchainement de bisses accrochés au coteau « varenois & contrayotte ». A condition d’avoir un agenda « pro » quelque peu malléable, un sens de l’organisation un poil aiguisé et quelques heures (jours) sup en rab pour mettre de l’huile dans les rouages, y a parfois moyen de réécrire le scénario d’une semaine qu’on pensait gravée dans le béton et l’armature.
Après, pour vraiment profiter de ce gros « reste » de journée ainsi dégagée, il faut aussi prévoir un minimum d’attention matinale, histoire de ne pas avoir à enchainer les aller-retours sur le premier bisse du menu, celui dont on connait déjà quasiment chaque racine par son prénom, à la recherche de clés perdues qu’on avait tout simplement laissées sur le parking de départ…
La théorie « réveil musculaire, stretching, échauffement » encore une fois mise à mal par un démarrage « drè dans le pentu » des premières collines boisées de Finges.
Même si le Brose réduit les puls d'un bon tiers, le rouge est quand même de sortie, d'entrée.
Six lacets et 60 mètres de D+ plus tard, nous voilà au point culminant, 614 mètres. Même la Belgique fait mieux...
Finges et son enchevêtrement de chemins, plus ou moins officiels, un plaisir à découvrir, mais tout un art à retrouver.
Et quand il n'y a plus de chemin, il reste toujours les berges du canal de Rhonewerke AG pour continuer à cheminer loin de la route cantonale.
Nos premières escapades printanières se succèdent, alors que Leuk-Stadt s'incruste à chaque fois sur au moins un de leurs clichés.
Alain Berset, jeune et avec des cheveux, mais déjà fatigué par la gestion d'une pandémie en directives majeures.
Retrouver le Grosswasser Leitu reste un plaisir toujours aussi appréciable, printemps après printemps.
Même momentanément privé du glou-glou de son eau, enrouler ses kilomètres de terre et de racines, ou plutôt de racines et de terre, redonne du feeling à n'importe quel pilotage encore en phase d'hibernation.
La traversée du Gulantschigrabu, version aller..
... puis retour...
... puis version aller encore.
Avant d'opter pour une rapide plongée en direction de la plaine...
... et des clés qui n'avaient pas bougé de là où on les avait malencontreusement laissées.
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