Avril est versatile, on le sait, et le retour sur les chemins qui y est associé, jamais dénué de surprises. Aux résidus neigeux, bien présents dès 1700-1800 mètres, malgré un hiver sans hiver et aux ravines et autres coulées de boue plus nombreuses qu’à l’accoutumé, vestiges de l’incroyable mousson dont nous avons été gratifié, l’automne passé, se sont ajoutés, cette année, un grand nombre d’arbres déracinés. Probablement plus par l’ameublissement des sols que par les tempêtes de vent, finalement rares, avant celle de foehn, du week-end passé.
La première Dent, c’est important !
Dans une vie, évidemment, mais aussi, dans une saison de VTT. Dans le premier cas, c’est l’accès à une nourriture plus « solide », et, dans le deuxième, c’est le juge de paix de la quantité de feeling au guidon perdue durant la pause hivernale.
Mais dans les deux cas, cette première Dent n’est qu’une étape, suivie habituellement de nombreuses autres.