Retrouver la « Varner », après une année entière loin de ses chemins, c’est comme retrouver une amie chère dont la vie nous aurait momentanément éloigné. On se souvient de sa nature généreuse. On se remémore ses attraits délicats, ses charmes cachés. On se rappelle de ses caprices. On a hâte de revivre ses délicieuses sautes d’humeur. On se résoud à ré affronter son caractère vesatile. Mais surtout, on se réjouit de redécouvrir ses courbes aguicheuses et son tempérament de feu.
La première « Varner » de la saison et autres plaisirs majuscules, c’était aujourd’hui, premier dimanche d’un été enfin prometteur.