Ceci dit, une « Varner » en juin, n’est (justement) pas toujours exempte de surprises. Du coup, pour assurer nos arrières, nous avions envoyé nos amis « dzoz », Oli et Thierry, en éclaireurs, le week-end passé, pendant qu’on suait (et grelottait) pour faire passer le « Moderna » de bras à trépas. Bilan des courses, ça manque de « passerelles », mais une fois les pieds mouillés, ça passe à peu près bien. Alors, comme la « Varner » reste la favorite de l’ami François, en dehors de sa douce et tendre s’entend, comme « Tintin » qui l’avait également déjà faite, ne se souvient généralement de rien et comme Denis découvrait le Vieux-Pays, c’était l’occasion de remettre au programme cet itinéraire mythique qui transforme la terre en gravier, les chemins en « wanderweg » et la sueur en sourire.
Si on a pas mal « crapahuté », pédalé et sué, on a surtout vanné, rigolé, bu, rebu, re-rebu et mangé largement plus que de raison. Avec cette « gang » du nord, le bike n’est souvent que la porte d’entrée d’une belle et (très) longue journée d’amitié et de bons moments partagés.
Les gars, vous revenez quand vous voulez. On a encore, en réserve, des chemins et des produits du terroir que vous n’avez encore jamais dégustés.