Ceci dit, une « Varner » en juin, n’est (justement) pas toujours exempte de surprises. Du coup, pour assurer nos arrières, nous avions envoyé nos amis « dzoz », Oli et Thierry, en éclaireurs, le week-end passé, pendant qu’on suait (et grelottait) pour faire passer le « Moderna » de bras à trépas. Bilan des courses, ça manque de « passerelles », mais une fois les pieds mouillés, ça passe à peu près bien. Alors, comme la « Varner » reste la favorite de l’ami François, en dehors de sa douce et tendre s’entend, comme « Tintin » qui l’avait également déjà faite, ne se souvient généralement de rien et comme Denis découvrait le Vieux-Pays, c’était l’occasion de remettre au programme cet itinéraire mythique qui transforme la terre en gravier, les chemins en « wanderweg » et la sueur en sourire.
Si on a pas mal « crapahuté », pédalé et sué, on a surtout vanné, rigolé, bu, rebu, re-rebu et mangé largement plus que de raison. Avec cette « gang » du nord, le bike n’est souvent que la porte d’entrée d’une belle et (très) longue journée d’amitié et de bons moments partagés.
Les gars, vous revenez quand vous voulez. On a encore, en réserve, des chemins et des produits du terroir que vous n’avez encore jamais dégustés.
Caravane du matin ne craint pas ce (nouveau) sable aérien en provenance de son Sahara natal.
Montana Tourisme ayant décidé d'interdire aux VTT l'accès au bisse de Tsittoret, c'est, une fois encore en direction de la Tièche que nous continuons à nous élever.
En 2 semaines, tout ici a changé, ou presque. Les murs de neige ont cédé la place à de l'herbe tendre, mais les redoutables pourcentages, eux, ne se sont pas évaporés.
Le premier chemin du matin ? Rendez-vous en terre connue pour les fidèles, totale découverte pour les autres.
Dans la vaste cuvette de la Tièche, miracle, la neige s'est transformée en eau. De là à la voir se changer en vin, va falloir encore pédaler quelques heures.
La montée impossible, qui ne l'est désormais plus, encore plus belle à vaincre quand elle ne fait pas vraiment partie de l'itinéraire du jour.
Pas mal de boue, mais pas de nécessité de se mouiller les pieds, toutes les passerelles étant finalement au rendez-vous.
Si quelques stigmates de l'hiver sont encore d'actualité...
... il n'y a plus vraiment de raisons, la selle de quitter.
Jusqu'à Nuschelet, ça passe déjà « crème » et un peu « boue » aussi.
Assortir son T-Shirt aux teintes de son vélo, c'est déjà classe, mais accorder le tout aux tôles du chalet pour la photo, c'est carrément magique. Alors que certains vendent des fringues, d'autres les assemblent avec goût. (Ou pas).
La deuxième montée impossible a finalement vengé sa grande soeur. L'ami Alex, après avoir subi la boue a refusé l'obstacle de la neige...
Le verrou d'accès au plateau de Varneralp n'a pas encore cédé, pour cette année.
François C., l'homme qui aplanit les frontières et les moraines, à défaut de montagnes...
... même s'il doit en « chier » jusqu'à la dernière montée.
Conciliabule pour une bifurcation : droit en haut ou outre à plat ? Comprenne qui pourra.
Réponse : Dri Hô !
Même s'il reste pas mal de neige à contourner.
Notre « gang » du Nord, sous un ciel gris, c'est assez habituel, mais sur un tapis de crocus c'est déjà moins commun.
Un Scott bicolore comme les bras de son vaillant pilote.
Toujours du sable, dans le ciel, mais de plus en plus de gravier, sur notre « Wanderweg »...
... et encore quelques derniers névés qui se transforment, en temps réel, en boue liquide.
Plammis Beach et sa plage de sable blanc ... et froid.
La « Chevauchée Fantastique », 2021, le « remake » du « remake ».
Décor grandiose ...
... et casting de rêve.
Lignes de vêtement ou lignes tout court : qui peut le plus, peut le moins.
Et pas de lignes ? C'est aussi un style ?
Chaleur étouffante et pluie de vannes : les conséquences du dérèglement climatiques sont parfois plus surprenantes qu'on ne l'imagine.
« Gorettage » d'épingle demandé par le photographe n'est pas un délit punissable. A condition, de savoir rentrer dans le rang rapidement.
A Chäller, la fameuse chapelle d'Alex, on a fini par retrouver.
De plus en plus marquée par les passages répétés (et les ascensions motorisées), l'itinéraire de la « Varner » gagne chaque année en caractère.
L'épingle « Jockerless », une simple formalité pour le nouveau « Chris Porter » de Martué.
Le VTT a l'art de savoir créer des ponts (et des passerelles) entre les gens.
Next Target : faire encore un bout de chemin tous ensemble avant que tout ne se liquéfie définitivement.
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