J’espère que « Page Rank » , l’algorithme de Google, est vraiment perspicace parce que, sinon, avec son titre « équivoque », il y a de fortes chances que ce billet se retrouve classé dans la section politique française du géant de Mountain View. Ceci dit, au final, le fameux dicton « con » a sûrement une fois encore raison : « Qu’on en parle en bien ou en mal, peu importe. L’essentiel, c’est qu’on en parle ! ».
Abordée comme une petite sortie de réglages, nouveau matos oblige, ce retour sur les « lattes » après une saison de ski 21 « blanche », s’est finalement révélé plus gratifiant qu’envisagé. La faute à un panorama sommital toujours aussi bluffant et à une couche de fraîche, certes moins épaisse que dans la belle vallée d’à côté, mais largement suffisante pour conforter un choix de nouveaux skis.
Le massif du Mont-Blanc, particulièrement bien nommé ces jours-ci, reste toujours aussi grandiose et Dynastar semble en connaitre un rayon (18 mètres) en matière de ski de rando. De là à dire que ce duo « win-win » du jour conforte le côté « franchouillard » instigué par le titre de cet article, il n’y a qu’un pas à rajouter au millier entrepris durant cette belle journée hivernale sur les hauteurs de Vichères-Bavon.
En lorgnant du côté de Chandonne ou de Comère, on ne peut que constater que la dernière perturbation neigeuse s'est visiblement essoufflée avant d'atteindre la vallée d'Entremont.
Pour autant, à partir de 2'200 mètres, la couche de fraîche reste intéressante et le panorama alentour toujours aussi époustouflant.
Téjeur atteint, pas de plongée vers la Sasse, changement de saison oblige, mais une longue transition en pente douce vers les Tours et leur calme banlieue immaculée.
Tous les chemins de crête vous le diront : les montagnes russes, c'est autant une passion qu'une manière de vivre.
Le point d'ourlet n'aura finalement duré que le temps de voir qu'on sait toujours skier « peauté ». Place désormais à son cousin « zig zag »
Et qui dit « zig zag » dit forcément aussi, « conversions ». Et là encore, visiblement, on sait toujours.
De bleu de bleu ! Mais pas que. Il y a aussi un bon petit paquet de degrés pas franchement positifs, malgré la majesté de l'endroit qu'ils colonisent depuis le début de l'hiver.
Première escapade gastronomique 2022 entre croutes au vent et chantilly double crème.
S'il manque toujours quelques degrés au thermomètre, côté « peuf », finalement, y a ce qu'il faut.
Même l'incontournable pierrier sommital est avalé sans toucher, une fois n'est pas coutume.
Et si les premières arabesques 2022 donnaient le ton de la saison ?
A l'ombre de la Tour, la température est glaciale, mais la neige, souvent préservée.
Ne manque qu'un peu de pente pour rendre l'exercice complètement concluant.
Et si toute la neige du versant s'était finalement donné rendez-vous dans cet affluent du torrent de la Chaux ?
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