Resti, pass, impair et manque !
Classique parmi les classiques au grand jeu de la roulette VTT à travers le Vieux-Pays, cette boucle d’altitude entre Loèche et le mythique Loetschental, réserve chaque saison son lot de suprises. Parfois mauvaises (chaine cassée – 2003), parfois rédhibitoires (patte de dérailleur arrachée – 2005), parfois douloureuses (ligaments de la cheville – 2011), mais le plus souvent très gratifiantes. Même si, par définition, aux jeux de hasard on ne gagne pas à tous les coups, le Resti reste une valeur sûre, sur laquelle on peut compter pour redonner le sourire au biker le plus blasé, qu’il soit de retour sur la terre de ces rugueux ancêtres (notre JP national), qu’il s’en vienne régulièrement du plat pays chanté par le grand Jacques (notre cher François « àfond»), qu’il soit professionnellement émigré à l’autre bout de la gouille romande (Steph 2 «Cancel») ou qu’il soit directement importé de ses montagnes de l’Atlas (PA notre fidèle guide de l’automne 2010).
Une participation aussi hétéroclyte que joyeuse pour un millésime 2012 sous le signe du soleil et de la bonne humeur.
Le peloton musarde encore à l'approche des premières difficultés.
Le pirate de l'Atlas...
... et son fidèle Kona, égarés au pays du vert.
Sur un chemin de Bachalp de plus en plus envahi d'herbes grasses.
La récente remise en état du chemin d'Oberu n' a en rien réduit sa pente initiale.
Pile, je gagne...
Face, je gagne aussi.
Quand météo et environnement se diputent la première place, il n'y a bien souvent que des gagnants.
Galm : vieux madriers et quiétude estivale.
Quatre nez dans leur guidon.
A chaque niveau d'altitude sa passion.
Droit dans la ligne de pente...
... ou un pas après l'autre. Dans la lutte contre les pourcentages à 2 chiffres, toutes les méthode sont bonnes.
Les pâturages du Wysse See à l'heure de la sieste bovine.
Blanc Bleu Belge VS Hérens.
La viande ou la corne.
L'appel du single.
Toujours en selle, mais avec un "léger" obstacle désormais bien en vue.
Chassez le naturel, il reviendra au premier changement de déclivité.
Quand les mètres en selle sont comptés...
... le portage n'est jamais bien loin.
Question sourire, le François en connait un rayon.
Chaque coup de pédale supplémentaire...
... raccourcit le stage de sherpa.
Un belge sur la lune ?
Encore une nouvelle vallée, mais pas n'importe laquelle : le Loetschental.
Sable blanc et granit empilé.
L'entrée dans le Loetsch', version schuss...
... et/ou pieds mouillés.
L'option, loin du chemin, inaugurée l'an passé, est reconduite à l'unanimité, pour les premiers hectomètres de la descente.
Comme on fait son lit (de rivière) on se couche (ou pas).
Caravane pour un col.
Un vaste tapis d'apéri cubes de granit ...
... qu'il vaut mieux éviter d'aller tâter du coude ou du genou.
Pour la traverseé d'oued, fut-il Loetschentaler, certain ont plus de métier que d'autres.
Le retour dans le droit (c'est le cas de le dire) chemin.
Un "p'titane" au concours de saut d'obstacles.Pas de nouvelle médaille suisse en vue, malheureusement.
Ombre et lumière sur une vallée mythique.
Attrape-moi si tu peux.
La perspective de caféine, de sucre et de bulles ...
... voire d'un breuvage plus houblonné.
Un petit air de Marakkech Bike Torphy au pays des Tschäggättä.
Verticale (un peu) limite.
Le tronçon maudit...
... avalé avec tous les ligaments intacts.Les années se suivent et, fort heureusement, ne se ressemblent pas.
L'éternelle chapelle de bois de Faldumalp, ou D+ II, le retour.
Chacun y va de sa méthode pour ressortir du Faldumbach et s'élever vers Oberi Meiggu.
La Jeizinen Highway...
.. et ses inévitables accrochages de fin de journée.
Une longue transition plus "côtée" que pourrait le laisser penser sa très négative différence d'altitude.
Jeizinen-Gampel version jambe sortie et poussière aux étages.