Curala 2012

Un jour férié en terre catholique pour cause de « Fête-Dieu », une météo « mi-fugues, mi-raison » comme ce printemps 2012 en est désormais coutumier et un itinéraire résolumment sans nuances. Trois ingrédients simples pour une recette pleine de piquant.

« Dri ho ! Dri ba ! », ou les deux faces d’une même pièce, Curala.
Pile, la place que tous les skieurs fréquentant le domaine skiable de Verbier connaissent pour pouvoir y parquer gratuitement leur voiture. Et face, le nid d’aigle, perché quasiment à sa verticale, quelque part au-dessus des vertigineux apics surplombant la chapelle de St-Christophe. Entre les deux 1’100 mètres de déniv’ à s’enfiler dans le cornet, d’abord via une ascension « directissime », plateau de 22, gros mollets et puls’ dans la zone rouge, suivie d’une descente « abrubtissime », disques fumants, appuis-poignets et roue arrière en glisse quasi permanente.
Un jeudi finalement aussi inédit qu’exclusif.