Après la parenthèse « descendante » de la toujours populaire Pass’Portes, nous pensions rapidement reprendre nos fondamentaux « all-mountain » en envisageant un juillet sous le signe des premières « hautes » randos de la saison. Malheureusement, les aléas météorologiques, dus à l’absence de haute pression au-dessus de nos têtes, nous ont forcé à revoir, un à un, tous nos projets.
A grands renforts d’annulations, de changements de programme et de sorties tronquées, nous avons, tant bien que mal, essayé de persister en selle malgré un début d’été aussi humide que capricieux. Mauvais temps et activités de plein air en berne ont une fois de plus, après 2010 et 2011, caractérisé une première moitié de juillet qui a amené son lot d’eau (c’est le cas de le dire) au moulin du plus célèbre dicton breton, dont l’usage est désormais en passe de s’étendre à tout le continent.
La désormais habituelle mousson du dimanche matin... avec le froid en guest star.
Dis, c'est encore loin l'Ecosse ?
Tais-toi et regarde où tu mets tes roues.
Humidité et venin ne font pas forcément mon ménage.
Miracle, au détour d'une bosse, la première éclaircie de la journée.
On va en profiter pour faire un (sacré) bout de chemin.
Boue collante, racines humides ou cailloux glissants, certains vieux (vélos) en ont vu d'autres.
Une petite douche improvisée ?Pas la peine, dame météo s'en est déjà chargé.
Cap sur le brouillard du fond de vallée.
Que de vert, que de vert.
T'as encore du visuel ou tu roules au GPS ?
Ni l'un ni l'autre, j'ai carrément loué un satellite pour les photos.
La Peule Climb : beaucoup de sueur...
... ponctuée par un beau sourire (légèrement crispé par le froid)
Perso, je voyais la Mongolie plus à l'Est, pas toi ?
Quand même les pots de fleurs recherchent la chaleur, c'est que juillet se prend pour février.
Toujours du brouillard, déjà un coupe-vent mais enfin une descente.
Keep Smiling ! Il n'a pas neigé.Bon, en même temps, juillet n'est pas terminé...
Pour une fois que la colonne qui encombre le bisse du Haut n'est pas faite de randonneurs, autant en profiter.
Maître Goupil dans son pré ?
Bonne idée, cette pirogue de marbre, au caus où juillet persisterai à nous mouiller.