Après un « Resti », vendredi, une « Varner », lundi !
Les grandes « classiques » d’été se suivent mais ne se ressemblent pas forcément. Si le « Resti » vaut d’abord pour son ambiance montagneuse et ses paysages majestueux, la « Varner », à l’inverse, vaut avant tout pour son itinéraire particulièrement « bikable » . Même si, en matière de panoramas alpins, le vaste plateau abritant les alpages de Varen se défend plutôt pas mal, ce sont avant tout les chemins qui relient les deux rives de notre « Roestigraben » valaisan qui valent le déplacement, surtout si vous le faites avec votre bike.
En effet, à l’exception d’une courte série de poussages/portages, dans son secteur initial, tout cet itinéraire respire les bons plans pour le bike. Son long cheminement ascendant à flanc, sa traversée des vastes plateaux sommitaux et surtout, sa somptueuse descente finale sur Chäller, puis Varen rivalisent d’atouts pour combler les « bikers » motivés et bien inspirés.
Une saison sans (au moins) une « Varner » n’est pas une saison ratée, c’est juste une idée impensable !
Et, désormais, ce ne sera pas 2017 qui fera une première exception à cette règle immuable.
Pluie du matin ne décourage pas le pèlerin... surtout quand il est Lorrain.
La montée impossible, bien abordée ... mais toujours invaincue.
Les techniques diffèrent, mais l'exercice reste aussi exigeant que périlleux avec autant de pavés cachés que fraîchement arrosés par l'abondante averse matinale.
Heureusement en allant vers l'Est, le revêtement devient de plus en plus drainant.
Enfin, pour ceux qui roulent vers l'Est...
Des gardiens de chèvres plus intéressés par les câlins de Sieur JP que par les caprices des caprins.
De la Black Angus qui paisse, de la gentiane qui n'attend qu'à devenir Suze et des bikers qui papotent ...
... et accessoirement s'initient à la pratique de sherpa des Alpes.
En bon Wallon, l'ami François n'a pas vraiment d'hésitation au moment de traverser le "Roestigraben" valaisan.
Le gravier dans le gosier (et sous les roues), il connait aussi.
En selle et contre tout, quels que soient l'état et la déclivité du chemin. Pardon, du Wanderweg.
Quand le choix de la trajectoire dépend de la position des flaques d'eau, c'est que le biker ne roule pas souvent dans les Ardennes.
Mais quand ce choix signifie juste faire différent des autres, c'est qu'on a affaire à notre JP préféré.
De l'Orange à la citrouille, il n'y a parfois qu'une bonne grosse vanne belge.
La montée infernale de Nuschelet, version 45 kilos tout mouillé ....
.... VS "longtemps plus vu, que deviens-tu ?".
Quand certains s'élèvent comme des fleurs ...
... d'autres optent plutôt pour l'option "tracteurs".
Quand les derniers mélèzes encadrent les derniers coups de pédales, c'est que le point culminant n'est plus très loin.
Oh Hisse Eh Haut.
Incantations au dieu "selfie" ou quand le ridicule ne tue pas. Ou, en tout cas, pas tout de suite.
Un petit bout de Plat Pays qui redonne de l'allant à nos cousins du Nord.
Si le ciel de notre journée n'a jamais vraiment mis son bleu (de travail), cela n'empêche en rien nos chemins de sécher à la vitesse grand V.
Quand deux beaux bikers draguent ouvertement Paris Hilton ...
.... Kim (Kardashian) fait un peu la gueule.
Comme dans le cochon, dans le flanc, tout est bon, surtout quand il propose un single en balcon.
Cramé de Tracouet mais pas lassé de selle. Ca mérite bien un petit bouquet.
Vais te montrer qui est le plus fort, saloperie de dernier raidard !
Baptême un peu voilé pour un premier Plammis.
L'heure du grand basculement est arrivée.
L'avantage du bike sur la marche, c'est que la descente, au lieu de vous casser les jambes, vous fend la gueule (d'un large sourire).
Concerto pour trois roues libres et six leviers (lâchés).
Pour le solo, optez pour une Hope amplifiée par l'alu d'Halifax.
Cette nouvelle portion d'autoroute est un vrai régal...
... même, ou surtout, si elle est plus sinueuse que de raison.
Les lacets suspendus de la Schattuflüe, plus qu'une curiosité, une formalité quand le cintre est bien dirigé.
Le grand échassier rouge tango dévoile tout son potentiel sur son terrain de jeu préféré.
Pilotage inspiré et conduite forcée.
Keep The Middle Line Or Die.
Varner Leitern, du lacet après du lacet après du lacet.
Non Monsieur l'agent, je ne me souviens pas d'avoir coupé.
Le chant des cigales et un cagna méditerranéen. Varen est en approche rapide.
Salut c'est nous... les Cookies ! Nous aimerions t'accompagner pendant ta visite. C'est OK pour toi ? Plus d’informations
Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.