Le VTT n’a pas de similitudes qu’avec certains jeux télé « à la con ». Si vous suivez ce site, vous savez qu’il s’accorde aussi très bien avec les dictons, « à la con », ou pas. En l’occurrence, aujourd’hui, ils sont deux, les proverbes qui ont fait notre actualité. Le premier, « les absents ont souvent tort », sauf quand il y a récidive. Et le second, « quand on aime, on ne compte pas », sauf les bonnes choses, qui, comme chacun le sait, vont par deux . Mis bout à bout, ces maximes un peu détournées, ont « fait notre jour » *, comme le disent si bien nos amis anglo-saxons.
Nanzlicke-Gebidum, prise 2, 17-08-17
Clap !
Moteur !
Avec en « guests » Patrik (#mtbguide_aostavalley), Erik (#mtbverbier), nos amis guides, une fois n’est pas coutume, guidés, et en « scénario alternatif », le Inneri, porte d’entrée de substitution pour notre Nanztal chéri.
* « You made my day ! »
Accrochez-vous, ça va encore poudrer et secouer.
Envisagée en trio, notre rando devient quatuor. Erik, le hollandais volant de MTB-Verbier ayant décidé de renoncer à sa douteuse option Stockalperweg pour nous accompagner.
A chacun sa trace, à chacun son chemin et les râleurs seront bien mouchés.
En dix jours, Mr Fletschhorn n'a rien rien perdu de sa superbe, juste gagné une nouvelle couche d'or blanc et une capuche en ouate.
Le Simplon, c'est déjà un peu le sud. En tout cas du point de vue revêtement.
Le Stockalperweg déjà oublié, sans regrets.
Mäderhorn, Monte Leone, Breithorn, notre ami Patrik pas vraiment orphelin de ses sommets valdotains.
Des guides guidés. Trop fastoche, yaka suivre les cairns.
L'option Inneri(Nanzlicke) se révèle finalement beaucoup plus "bikable" qu'espérée.
Le versant nord du Straffulgrat est passé en revue intégralement en selle...
... jusqu'au dernier mètre de moraine.
Après, pour les deux lacets finaux, le mieux c'est encore d'avoir un sherpa parmi ses amis.
Welcome Back In The Nanztal.
Pilotage de goret et "pif-paf" caché. Les conséquences auraient pu être pire que ce large sourire.
Nanzlicke, le petit frère. Cinq minutes chrono, à tout casser.
Le Gebidum sous le nez, mais le cintre qui tire à gauche.
Quand les satanés satellites de la NSA sont en pause, ce sont les drones de l'armée suisse qui prennent le relais.
De cairns en cairns, notre journée fait son chemin...
... en pente douce et panoramique.
Quand la caravane déboule, le lichen des rochers n'à qu'à bien se cramponner.
Erik la machine ! Pour l'arrêter de monter, il n'y a rien d'autre à faire que lui taper sur la tête. Faut juste trouver un gourdin qui va bien.
Voilà ce qui s'appelle sourire à la vie ... et tourner le dos à sa destination
La première "vraie" descente de la journée : rocailleuse, c'est juste le prénom.
Sans pour autant calmer l'ami Patrik sur son hardtail.
Une singulière partie de saute-rochers ...
... avant de défier les Schwarze Naze.
La petite séance de sherpa qui va bien avant le repas.
Portage, stage 2, épaules, Stage 5.
A partir d'ici, c'est en selle que tout s'écrit.
Quand la juvénile Gamsa est traversée, le point culminant est droit devant.
L'eau du petit glacier de Gamsa fait chaque année plus d'adeptes. A quand un embouteillage et une AOC ?
Miroir mon beau miroir, dis-moi qui est le plus heureux des guides de la journée ?
Loin de ses célèbres canaux natals, mais toujours tenté d'y plonger.
Après les vivats d'Ibis, il y a 10 jours, l'ovation à Santa Cruz. On va quand même pas faire de jaloux entre les cousins californiens.
Mountain Bike Or Not Mountain Bike ? This is no more the question !
POC, c'est la marque du casque, pas le bruit du rocher qui s'effondre.
Et la priorité de droite, t'en a déjà entendu parlé ou pas ?
Avoir sa maison en Suisse. Oui, mais pas forcément celle-là.
Pour la subvention du toit en ardoise, y a qu'à demander. Pardon, y a qu'à se baisser.
Y a pas vraiment photo : Heido 3 - Stockalper 0.
Toutes les pièces ont deux faces.
Mais le Nanztal a deux versants...
... intégralement roulables.
Le Gebidum Express, la Suisse regorge de petits trains, mais aucun n'est aussi divin.
Le Bodmeri-Niwa, nouvelle transition en pente douce...
... pour aborder le chemin de crête de la forêt brûlée.
La plongée finale s'annonce, une fois encore, infernale.