A l’instar de bon nombre de préoccupations n’ayant pas survécu au Covid-19, le fameux « Global Warming Tour » ne semble pas décidé à faire étape chez nous, en ce début d’été. Cela devrait plutôt être réjouissant, surtout si ça pouvait nous éviter d’avoir, de nouveau, à nous coltiner les « précieux » conseils de la médiatiquement décédée, Sainte Greta de Stockholm. Mais, s’il est encore et toujours judicieux de rouler « couverts » et « distanciés », tous les festivals de l’été n’ont pas été sacrifiés sur l’autel du Corona. Il en est même un qui bat son plein, ces jours-ci, celui des gouttes froides. Je ne veux bien évidemment pas parler de toutes celles qui nous sont tombées sur le coin de la gueule depuis une dizaine de jours, mais de ce phénomène météo, de saison, très bien expliqué sur le blog de Météo Suisse.
Et, en parlant de gouttes, pour tous ceux qui espéraient passer entre celles de cette semaine de mousson, il était particulièrement judicieux de cocher ce vendredi 11, pont de la Fête-Dieu, en terres catholiques, sur leur agenda de plein-air. A notre programme de cette unique journée complètement sèche depuis début juin, une première « Varner », histoire d’aller voir in-situ où se situe la barrière entre le vert et le blanc.