Un printemps qui oscille quotidiennement entre été et hiver.
20° C perdus en moins de 24 heures.
Des épisodes météo considérés comme extrêmes en passe de devenir la norme.
Nos journées de bikes se suivent mais ne se ressemblent pas forcément. Après la fournaise de vendredi, place au brouillard et au froid de dimanche, pour une seconde sortie du côté de nos chers «oberwalliser» single-tracks, aux charmes aussi rocailleux que le dialecte de leurs ancestraux bâtisseurs.
Voir Tatz et … sourire !
Sourire au soleil enfin décidé à percer l’épaisse couche de brume humide et collante.
Sourire aux 900 mètres de D- qui n’attendent qu’à être enquillés de concert.
Sourire à la caillasse et aux racines humides qui projettent de vous faire mettre pied à terre, voire plus si mésentente accidentelle.
Sourire aux 55 épingles qui égayent l’étroit ruban d’un « mythischer Wanderweg » à faire au moins une fois dans une vie de biker.
Et finalement, sourire tout court, juste parce qu’« en selle, la vie est plus belle ».