Stop ! Ou Encore ?
Jusqu’où ce novembre inespéré emmènera-t-il nos roues cramponnées ?
A priori, pas au-delà de lundi, puisque mardi… nous serons le premier décembre… et, peut-être aussi, en hiver, à en croire les prévisions météo.
Alors, est-ce que cette saison VTT à rallonges, pour certains, ou cette deuxième demi-saison, en bonus médical, pour d’autres, va finalement prendre fin ? C’est aussi inévitable que souhaitable. D’une part, parce que chaque saison se nourrit de passions, et d’autre part, parce que, à l’instar de nombreux domaines, c’est la variété qui fait la richesse. En d’autres termes, c’est parce qu’il y a un hiver que nous aimons l’été.
En attendant le verdict de milieu de semaine prochaine, nous avons profité de ce nouveau dimanche « indien », au-dessus du stratus, pour rajouter du chemin aux chemins, ou plutôt, du « Wanderweg » aux « Wandergwege ». En l’occurrence, ceux qui relient le balcon de Tatz à la plaine du Rhône, à travers son bel adret minéral, rocailleux, quasi méditerranéen. Si la saison VTT doit finalement s’achever, que ça soit de la meilleure manière possible. Et, en la matière, Tatz a beaucoup d’arguments à faire valoir, un peu comme une savourseuse cerise sur un gros gâteau de chantilly.
On a le droit de faire du bike sur les autoroutes du plateau suisse ? Première nouvelle !
Entre Hohtenn et Hohtenn Bahnhof, le sourire revient. Allez savoir pourquoi.
Si la vallée du Rhône, une fois n'est pas coutume, grelotte sous son épaisse couche de chantilly, l'adret de Tatz propose une température printanière, "wie gewöhnlich".
Une des rares zones d'ombre de notre journée, mise à profit pour jouer aux petits chinois.
Vogue la galère !
Le lac Léman, pardon, le lac du Bouveret, a, en ce dernier dimanche de novembre, décidé de pousser jusqu'au port de l'Illgraben.
Avant Tatz, ce n'est pas Tatz ! Mais ça n'empêche pas le Wanderweg supérieur d'être parfaitement appétissant...
... avec son arrivée en forme de piste de bobsleigh.
Le dessert avant la chantilly ? Abondance de bien, ne nuit point.
Le dernier S d'une saison à rallonges, avant les premiers d'une nouvelle qui démarre la semaine prochaine ?
Tatz VS Bratsch : la région est certes riche en pans d'ardoises., mais certains sont moins impressionnants que d'autres.
Aux portes de l'hiver ? C'est cela, oui....
Si la mer (de stratus) était bleue, on se croirait au bord de la Méditerranée. Les bateaux de migrants en moins.
Tatz, un chemin sur lequel il faut toujours garder un oeil, voire parfois les deux, pour en déjouer tous les pièges.
Que le BLS ait un peu trop puisé dans les subventions fédérales, nous passe largement au-dessus de la tête, en cette belle journée de fin d'été indien.
Sauf qu'une fois sa ligne traversée, on se retrouve englué dans la chantilly. C'est peut-être un signe...
Lidu Downtown ! A ne pas confondre, avec Ladu, 300 mètres au-dessus.
L'entrée dans les fameux lacets empilés.
La partie de tricot peut débuter.
Toutes ses mailles sont "enfilables", à condition de savoir gérer la caillasse parfois fuyante, les marches souvent cassantes ...
... et les trajectoires pas toujours très catholiques.
Une fois au niveau du Stägeru Süe (bisse de Steg), on sait que le plus dur (et le plus amusant) est fait.
Il reste encore du lacet, mais plus ouvert et moins empilé.
Comme celui de l'église de Niedergesteln, sans église et sans Niedergesteln, pour cause d'excès de chantilly.
On n'est pas là pour porter la croix des autres, même si, aujourd'hui, en-dessous de 1'000 mètres, on partage un peu celle des habitants du plateau suisse.
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