Un vendredi loin du taf, quelques heures en rab et un adorable champ de cailloux dont on était sans nouvelles depuis plus d’un an. Malgré un petit matin humide et brumeux, le menu était si appétissant que notre projet a forcément été voté à l’unanimité… de ses deux participants. Direction la frontière hollando-suisse pour retrouver un vaillant soleil chamoniard toujours aussi prompt à assécher son réseau de sentiers panoramiques que sa réserve spéciale de singles ombrageux et cassants.
Le Col de Balme, malgré sa forte fréquentation de randonneurs motorisés ou de courageux « contourneurs » du Grand blanc, reste une valeur sûre pour le bike, à condition d’éviter la « haute » saison estivale, d’oser braver le petit goût d’interdit qui lui colle aux sentiers et de savoir apprécier à leur juste valeur, les charmes de quelques séances de marteau-piqueur naturellement ventilées.
La Sarkozie s'appelle désormais Hollande, mais le plat n'en est pas pour autant devenu une caractéristique de notre grande voisine préférée.
En attendant que le ciel se mette à jour, le bleu a déjà rendez-vous de la terre encore humide.
Gros vélo et raidards en cascade, un cocktail à savoir déguster sans se presser.
L'Aiguille Verte, la bien nommée après ce printemps de mousson, une amie toujours fidèle au rendez-vous des bugnes menant au Col des Possettes.
Un Y bien trop alléchant pour ne pas, une fois de plus, braver l'interdit.
Interdit peut-être, mais exigeant, sûrement.
Une certaine idée du bonheur...
...ou un sentier aussi géant que les sommets auxquels il fait face.
Bon, passe devant, après tout, c'est toi le guide.
Le Grand Blanc à vélo ça semble quand même un peu ambitieux...
... mais les singles du massif des Aiguilles Rouges pourquoi pas, quand la neige aura fondu.
Retour sur quelques coups de pédales particulièrement gratifiants.
Direction le Vieux-Pays, via l'incontournable Col de Balme.
Bye Bye Big White & Co. See you next winter.
L'habituel raidard mal pavé des derniers hectomètres menant au col de Balme, en juge de paix toujours révélateur de la forme du moment.
Un basculement en Helvétie avec un petit goût de café macchiato...
...voire localement de glace stracciatella.
Bon, tant qu'il restent quelques centimètre de cailloux dégagés, il y a toujours moyen de discuter.
Névés persistants et rhodo en fleurs...
... pour un vrai tracé à gros vélos.
Même si parfois, un skidoo serait plus utile.
C'est bon, t'as le dentier bien accroché. Alors, go, c'est tout droit.
C'est la couleur naturelle de tes gants ou t'as les mains qui commencent à cloquer ?
Le Tsanton des Arolles : 3 minutes de pause pour essayer de récupérer un bras, voire les deux.
La forêt de Chieuset : de fracassant, l'exercice devient seulement cassant et de plus en plus plongeant.
Pas au point d'effrayer sieur Meta et sa grosse Marzo...
... mais suffisamment pour exiger concentration et application sur des bikes moins "bodybuildés".
La nouvelle variante finale, directement sur la berge droite du Nant Noir : un parfait résumé d'une journée sous le signe du marteau-piqueur.
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