Un gros chapitre de « Fifty Shades Of Grey » et puis, du bleu, du radieux et de l’onctueux !
Dix-huit mots pour résumer une journée ! Est-ce vraiment nécessaire d’en rajouter ?
Bon, allez, quatre phrases. Pas une de plus.
-2° seulement à Bourg-St-Pierre, c’était déjà louche, voire carrément l’été.
Ensuite, ce « putain » de couvercle, mouvant mais pesant, qui nous a forcé à broyer du gris jusqu’à l’entrée de la combe de Challand.
Et puis, ça a été pire encore, de dessous, nous sommes lentement entrés dans ce gris, humide, collant, presque poisseux.
Et après ? Après, il y en a qui ont perdu leur pari, parce soudain, comme dans les films, nous avons émergé à Plan Tchottons, le mal nommé*, pour découvrir un ciel turquoise, un soleil éclatant et une couche de fraîche dont « insolente » n’est que le prénom du prénom.
Alors ? Alors, je n’ai plus de mots, mais surtout, j’ai dépassé le quota de phrases imparti.
Heureusement, il y a les photos…
* les vrais amateurs de patois valaisan comprendront… ou pas.