« Belle saison de ski, en fin d’activités, recherche itinéraire de clôture, pas trop dénivelant, ouvert à d’éventuelles variantes et encore en bonnes conditions. Panoramique serait un atout indéniable, (à peu près) sécure, une qualité appréciée et compatible avec un final aqueux et agapeux, un avantage notable. »
Proximité géographique et exigences multiples étant désormais de moins en moins compatibles, les candidats ne se sont finalement pas bousculés au portillon. Parmi les nominés, il y avait :
– le Parrain, mais désormais sans fond et donc exigeant un (long) portage descendant.
– le Rogneux, encore et toujours trop ombrageux au goût de nos amis « sunless » de la semaine.
– les habituels « Fouly Friendly », pas vraiment mis en valeur par notre dernier Chantonnet si venté.
– et les incontournables classiques ceinturant le Grand St-Bernard, Telliers, Drône, Grand Lé et Fourchon en tête.
Une brochette de « remakes » digne du service fiction de notre « chère » RTS, parmi lesquels nous avons choisi, sans surprise, la Dent du Grand Lé 2.0, le retour en Drône, la combe dans laquelle l’hiver ne meurt jamais… ou alors, très tardivement, genre fin mai, début juin.
Seconde escapade sur la crête sud des Alpes Valaisannes et seconde confrontation avec le souffle puissant d’un foehn qui avait encore décidé d’être de la partie. A la notable différence, par rapport au Chantonnet, que, cette fois, en randonnant quelques kilomètres plus à l’intérieur du massif, nous avons pu bénéficier d’un fenêtre, certes ventée, mais bien plus ensoleillée que ça n’avait été le cas en Ferret, les nuages poussés depuis le Val d’Aoste s’étant pris d’amour pour les premiers pics rencontrés sur leur ascension orographique.
Encore du blanc dominant, mais du noir qui gagne chaque jour un peu plus de terrain. La saison de ski de rando court inexorablement à sa perte.
Remonter en Drône reste un pèlerinage incontournable, surtout pour un Vendredi-Saint.
Le choix du pont de neige servant à changer de rive est, avancement de la saison oblige, important, voire essentiel pour continuer à cheminer les pieds secs.
Deux filles dans le vent (forcissant) !
Vélan et Combin en voisins, dénivelé sans distance associée en menu : notre divin chemin d'un nouveau matin sur les skis.
Le mauvais temps du sud pousse tant qu'il peut, mais les pics frontaliers sont trop élevés pour ne pas qu'il n'y reste accroché. Merci Madame topographie !
L'attaque d'une des pentes finales les plus "casse-moral" qui soit.
Le meilleur moyen d'en venir à bout reste encore de ne penser qu'à l'instant présent et d'aligner les foulées.
Le plus mauvais consiste à vouloir la terminer sans skis aux pieds.
Echec annoncé... et vérifié !
Neige pas encore totalement revenue et trajectoire "drè dans le pentu".
Pas forcément un duo win-win.
Bien examiner les orientations des différentes facettes du versant et choisir celles qui ont pris le soleil en premier, est beaucoup moins renversant.
Etalée mais pas déstabilisée pour un sou(ffle de foehn).
Petit à petit, même pâle, le soleil agit. Ce qu'on perd en altitude, on le gagne en longueur de poils de moquette.
De stratifié, notre tapis, lentement devient chantilly.
Quand on a été privé d'entrée et de plat (par le vent), on apprécie d'autant plus un dessert qu'il se révèle quasi inespéré.
Si la crête frontière est encore et toujours dans le brouillard, l'adret de Drône continue à faire de la résistance. Merci papy !
L'idée du pique nique était plutôt de profiter du rocher pour garder nos fesses au sec, mais tu fais comme tu veux (ou comme tu peux).
L'onctuosité de notre chantilly prend de l'ampleur...
... sans, pour autant, nous inciter à renoncer à sa douce saveur.
Le foehn est, par définition, un vent associé à un relief. S'en éloigner, même de quelques centaines de mètres seulement, suffit parfois pour éviter de s'y trouver emprisonné.
Après le patinage, voilà le ski artistique et l'entrainement de ses nouvelles figures en vue des JO de Pékin 2022.
Drône en point de mire et, pourtant, encore tant de pans (à tracer).
C'est bien de savoir apprécier son environnement, mais c'est encore mieux de regarder devant soi pour skier en sécurité.
Le toboggan final, passerelle pour une combe de Drône, aujourd'hui, un peu ombragée.
Derniers virages en adret ou derniers virages en (Zag) Adret. Un peu les deux, pour ce qui concerne 2019, en tout cas.
L'autoroute pour l'Hospice, forcément sur fréquentée à l'aube de ce long week-end pascal.
Cache ta joie, ça commence à se voir sur les photos :-)
Le Stone Slalom est déjà annoncé comme sport de démonstration pour Pékin. Par contre, si vous voulez gagner, éviter de boxer les rochers au moment de les aborder.
Tu t'es vue quand tu "styles" comme une grande ?
Drône en avril, c'est souvent comme du ski de piste. Les bosses d'antan en plus, le balisage des bords, en moins.
Même juvénile, la Dranse d'Entremont demande plus d'énergie que de tact pour se laisser apprivoiser.
Fin de saison et divin nectar ! Diolinoir élevé en fûts de mélèze. Plus valaisan, il n'y a que le Fendant, mais il ne joue pas vraiment dans la même catégorie.
Fin de saison et agapes en terrasse. Lundi ce sera oublié, lundi c'est VTT !
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