Les dictons « il faut battre le fer tant qu’il est chaud » et « l’échec est le père du succès » peuvent se traduire en langue « Levo » par « revois la config de ton Brose » et « reprends ton chemin là où tu l’avais laissé ». Du coup, rebelote, nous voilà à nouveau reparti à l’assaut de l’itinéraire du « Half » pour voir si les studieuses heures minutes de reconfiguration du « reconditionné » portent enfin leurs fruits. Comme on connait déjà personnellement chaque caillou des 34 kilomètres du parcours, il restait juste à valider les différents niveaux d’assistance choisis pour venir à bout des 1’816 mètres de D+ inscrits au programme.
Résultat, un peu comme avec l’Ovomaltine « tu n’y arrives pas mieux, mais plus longtemps ». Deuxième tentative à peine plus concluante que la première. Même réglé à 15% d’assistance, le « reconditionné » consomme encore trop pour espérer accrocher les 2’000 m de D+ comme avec l’ancienne version.
L’option « rouge & sauvage » prend à chaque sortie plus de consistance. A moins que, comme mon petit doigt semble l’affirmer, Mr Spé se décide à mettre ses Levo 21 au niveau d’équipement de son petit mais redoutable cousin germain, autant que germanique.
L’été sera chaud, l’été sera chaud, pour les RX ou les Levo !
Long papotage matinal à propos de la fiabilité des réchauffés, pardon reconditionnés, de chez Spé.
A propos de réchauffés, on en est loin pour un 4 juillet.
Mille raisons de retenter la traversée dans son intégralité.
Si le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions, celui de de notre paradis si blanc, fait plutôt dans le caillou retors ...
... et le rodho odorant.
Il y a 6 jours, c'est ici que le "reconditionné" nous avait laissé tomber.
Moins assisté, il nous permet aujourd'hui de persévérer dans le pré...
... voire même d'envisager toute la traversée jusqu'au Goli de Servay.
Ciel plombé et autonomie limitée, nos week-ends se suivent et leur scénarios évoluent peu.
Le petit coup d'épaule qui va bien pour remettre les choses à leur place.
Les Oujets de Mille aussi appelés Caucase (Montagne de Russie).
Concerto pour deux rickshaws (pousse-pousse chinois)
La moraine la plus panoramique et roulée de tout le Vieux-Pays.
Petite incartade pas très règlementaire avant de retourner dans le droit chemin.
A propos de chemin, ceux qui traversent les pierriers se roulent vite et relaché...
... mais en essayant de bien choisir ses lignes.
Le petit déhanché qui va aussi bien pour saluer la station de tous les excès... en attendant, peut-être, de tous les procès.
Soleil en passe d'être retrouvé pour avaler la dernière montée.
Jusqu'au dernier mètre escaladé, Servay se fait mériter.
Le rocher où tout bascule, enfin, surtout la déclivité contre laquelle nous avons tant lutté.
Du turquoise entouré de points multicolores : en une année Servay n'a pas changé.
Pique-nique improvisé avant la très attendue séance de plongée.
Quelqu'un va bien savoir nous dire qu'elles sont ses magnifiques fleurs dorées ?
Premier samedi de juillet : sans le Covid, notre chemin aurait été livré aux trailers. On va peut-être pas dire merci, mais néanmoins apprécier.
Récemment épilé, ce sentier est un pur bonheur à carver...
... avant de proposer la plus belle piste de bobsleigh naturelle de toute la Suisse, juste après celle de St-Moritz.
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