Teminer une saison à Tatz, et, pratiquement recommencer la suivante… également à Tatz.
Entre ces deux saisons, un changement de millésime, un presqu’hiver, mais aussi, un remplacement de « meilleur ami ». Seule chose qui ne change pas dans cette singulière affaire, Tatz, le hameau promontoire haut-valaisan qui reste un spot incontournable pour la pratique du VTT. Surtout depuis qu’on a « rippé » vers l’Ouest et (définitivement ?) changé d’option pour la descente.
Trois Rise(s) sinon rien !
Si les deux premiers « petits basques » sont définitivement établis dans notre beau pays, le troisième doit encore faire ses preuves avant de pouvoir bénéficier de son visa d’accès. Ce qui ne devrait pas forcément être très compliqué, tant ses incroyables capacités font désormais l’unanimité dans le petit monde du VTT inspiré.
Trois Rise, sinon rien !
4 avril et l'été est déjà au rendez-vous de l'adret menant à Tatz. Ça change de la mousson 2024.
Si l'été est déjà installé en moyenne montagne, au-dessus, l'hiver n'a clairement pas encore dit son dernier mot.
Une photo de JP en mode JP. Avec, en vedettes, les premières fleurs d'une saison qui, espérons le, en comptera beaucoup d'autres.
J'avais pronostiquer les résidus neigeux entre 1500 et 1600 mètres. Je ne me suis finalement trompé que de 40 mètres. Pas si mal pour un adret pas revu depuis novembre.
Mattachra, haut lieu de la gastronomie embarquée sur nos VTT. Je ne sais pas combien de sandwichs nous avons déjà dégusté sur son petit banc panoramique.
En revanche, ce n'est pas toujours simple d'échanger avec les autochtones et leur rugueux dialecte.
140 jours après, le même endroit, la même photo, mais pas les mêmes vélos. Les saisons se suivent, les amitiés perdurent mais les montures succèdent aux montures.
A vélo en or, bouquet doré ! Ou quand la coordination devient carrément un art.
Spilbielalpji-Ladu, un premier tronçon de rêve pour lâcher les freins de nos Rise.
Rise un jour, Rise toujours ?
De l'or en barres et en tubes.
Prison de jeunes vernes, ne met pas le biker en berne !
Le « Laduweg », découvert tardivement, adopté immédiatement et fréquenté désormais assidûment.
L'air de famille avec le « Tatzweg » est bluffant.
Mais un « Tatzweg » que les « shuttelers » n'auraient pas encore mis à leur menu du week-end.
Quand il s'agit de « Rock Slaber », JP n'est jamais le dernier. Plus c'est haut, plus c'est beau.
Du « Liduweg » au « Laduweg » il n'y a qu'une lettre qui change, mais dix ans de fréquentation VTT en moins.
Une sorte de retour aux sources sur un terrain réputé pour son aridité.
Entre un arbre mort et un autre, bien vivant. Bref échange avec un vélo clairement trop grand.
La croix mais pas la manière, constat inverse pour l'ami JP et le vélo en or.
Quand le Rise passe, les arbres trépassent ? A moins que ce ne soit à cause des sécheresses répétées...
Le passage sous la ligne du BLS, autre similitude avec un proche voisin.
Juste un peu de caillasse et quelques VTTistes en moins.
Du « Laduweg» au « Spichermatte » il n'y a qu'une voie de chemin de fer à traverser...
... Et quelques lacets piégeux à gérer.
Plus Hohtenn remonte vers nous, plus le chemin se fait cassant. Un peu rugueux, mais pas au point d'arrêter ces Rise si bien nés.
Le « Grundweg » final, proche cousin du « Bärggaässi » voisin, mais avec le mode « marteau piqueur » juste un peu moins enclenché.